La Belle Epoque : 1895-1914
Le Pont-vieux vu par le peintre Morion.
Devant le Pont-vieux qui date de 1503, la guérite de l’octroi.
Le café Janin près du Pont-vieux, le fameux O 20 10 20 100 O
Mademoiselle Dumas devant le Pont-neuf à l’entrée de Cognin.
Dans la grande-Rue avant 1906
Peu de circulation sur une chaussée cahoteuse.
Le transport hippomobile longe les rails du tramway.
La boulangerie Davignon.
L’épicerie Chautemps.
De nombreux estaminets.
Peu de dangers dans la rue à cette époque.
Le tramway à vapeur assura un service de 1906 à 1911 entre Chambéry et le Pont Saint-Charles.
Encore le tram…
La soierie Champenois, la grosse entreprise de Cognin à la Belle Epoque.
Paysage bucolique peint par Morion près du pont de la Ratière.
Le château de Corinthe, transformé, accueille les Sourds-Muets depuis 1863.
La mairie-école a accueilli des générations d’écoliers.
A l’entrée du parc du Forézan.
Au carrefour du temps, quand le temps prenait son temps.
Le pont Saint-Charles construit en 1671 sous le règne du duc Charles-Emmanuel II.
A Corinthe, les enfants sourds apprennent la lecture sur les lèvres. La carte de France est amputée de l'Alsace-Lorraine.
En 1915, Joseph Opinel achète l'ancienne tannerie Dumas pour y installer sa coutellerie.
Au temps de la machine à vapeur sur la ligne ouverte en 1884.
Le Pont-vieux vu du côté de Chambéry par le peintre Morion.
Une scène de la Belle Epoque : article publié par Nicolas Million dans l'Almanach des Pays de Savoie édition 2015 en cliquant ici.